Cours de français
Pour les migrants qui ne parlent pas ou peu notre langue, afin de les aider à de débrouiller au quotidien, à prendre leur place dans la société. Groupes par niveaux (A1, A2). Engagement à une présence régulière…
Pour les migrants qui ne parlent pas ou peu notre langue, afin de les aider à de débrouiller au quotidien, à prendre leur place dans la société. Groupes par niveaux (A1, A2). Engagement à une présence régulière…
Il s’agit essentiellement d’aider à la construction des dossiers de régularisation des personnnes "sans-papiers". Permanence située à Belleville, conjointe avec la Cimade, gratuite.
Une excellente formule de rencontres entre Personnes Exilées (quelle que soit leur situation administrative) et Français.
Echanges jaillissants - sans les représentations habituelles ni folklore - autour d’un plat central typique préparé à tour de rôle par un originaire du pays.
Les dîners Le Goût de l'Autre fonctionnent depuis 2023 grâce à l'accueil de la Maison Bakhita
L'aventure conforte une histoire pleine de richesses.
Occasion délicieuse d'échanges -au-delà de tous les clichés sur les "sans-papiers".
Les dîners récents du 27 juin et du 8 octobre ont été particulièrement savoureux, chaleureux, joyeux.
(06 82 35 57 52)
http://lgdla.blogspot.com
Rencontres, ouvertes à tous, avec des personnalités permettant de mieux appréhender les situations liées aux migrations, de proposer une vision agissante et positive : se sentir citoyens d’un monde où chacun existe pour l’autre.
Les soirées Grands Témoins connaissent un rythme soutenu depuis leur lancement en 2017. Une excellente occasion de sensibilisation, au regard d'un intérêt qui ne faiblit pas. Les interventions s'attachent chaque fois à une approche spécifique de l'immigration, mais de leur complémentarité se dégage une cohérence stimulante.
Ainsi en 2022, le professeur Lionel Ragot (10 oct) sur l'impact économique de l'immigration en France, et Marie-Laure Morin (14 nov), ex-conseiller à la Cour de Cassation, "Faire de l'hospitalité un droit fondamental".
En 2023, Hippolyte Coester (Science-Po, Gisti), 14 fév, sur le projet de loi immigration, de même Marianne Le Gall sur le "plaidoyer" du Secours Catholique, 23 mai, Matthieu Tardis, co-directeur de Synergies-immigrations, sur les données géopolitiques de l'immigration, au niveau mondial et surtout européen, 24 octobre.
En 2024, Damien Carême, député européen, ancien maire de Grande-Synthe, 11 janv, pour une Europe "solidaire", puis Jacky Richard, Conseiller d'Etat honoraire, Pacte Civique, le 6 fév, l'immigration une nécessité économique (en dépit de la nouvelle loi...), ou encore Aziz Tabouri, DG d'ISM Interprétariat, 21 mars, une démarche qui veut d'abord faire sens, en mettant en priorité l'humain et l'éthique, de même encore Eric Mercier, universitaire sociolingusitique, et Fatma-Zohra Mammar, formatrice de formateurs, 14 mai, questionnnant l'obligation des examens préalables de français pour l'intégration.
Les migrants travaillent, généralement dans les métiers les plus pénibles et indispensables, appelés souvent "en tension"... Comment faire pour que ceux qui ne sont pas en situation administrative régulière puissent enfin être reconnus ? La dernière loi sur l'immigration du 26 janvier 2024, largement censurée par le Conseil Constitutionnel, entrouve parcimonieusement cette possibilté, laissée à la discrétion des préfets.
Que va prévoir la prochaine loi, annoncée pour le début 2025 ?.. En dépit de toutes les réticences officilelles par rapport au phénomène migratoire, il est probable que sous la pression du patronat au regard des besoins importants en main d'oeuvre, les régularisations économiques constitueront toujours un élément inéluctable.
et encore plus...