La législation relative aux migrants et réfugiés est clairement répressive.
Outre des mesures écornant gravement les libertés fondamentales (assimilation des migrants à des quasi-délinquants, systématisation des OQTF -obligations de quitter le territoitre français- grande difficulté via le passage par internet pour obtenir un RV en préfecture, contrôle généralisé et échange des données personnelles, interpellations facilitées, violences policières, expulsions...) ce qui frappe toujours, c'est que ne sont pas traitées les demandes les plus pressantes rencontrées sur le terrain, en particulier à la permanence du RCI : disposer d'un statut régulier, se loger, se nourrir, bref être en capacité de vivre dignement, munis d'un titre de séjour, dans le respect de la vie privée et familiale.